Distance Totale : 39.40 Km
Gain d’Altitude : 371 m
Altitude Maxi : 177 m
4 novembre 2016 (vendredi)
Depuis le temps que je voulais faire cette reconnaissance pour trouver un
circuit qui relierait le plateau d’Armissan à celui de Saint Pierre la Mer, j’ai
enfin pu réaliser la jonction. Vous dire que c’est facile, je ne m’y risquerai
pas, mais c’est intéressant et sportif. Je passe sur la première partie de
parcours qui reprend exactement le début de la “piste des radars”
souvent décrite dans ce blog. Arrivé sur le plateau d’Armissan le trajet
change en continuant jusqu’à la bergerie de Bringaïret (repère A) ou on
retrouve la route goudronnée qui mène vers… les Radars, justement.
Mais, soudain, un panneau interdit de continuer sur cet axe et force est
alors d’emprunter une piste assez encombrée de végétation sur la
gauche (repère B). Pas très facile mais un peu plus loin (Repère C), c’est
la galère. Il n’y a plus qu’une trace étroite et enserrée par les chênes
Kermes qui l’envahissent peu à peu et dont les branchettes
s’emberlificotent dans les pédales. On peut avancer un peu, puis force
est de passer au portage pour se dégager de ce passage (+/- 600m). Au
repère D, on retrouve une piste plus large et très agréable. Mais ce n’est
pas fini; nous sommes sur un parcours de crête car les vallées alentour
sont défendues par de hautes falaises et il ne faut pas songer à s’y
engager. La piste qu’on retrouve ne dure pas longtemps et soudain fait
place à une trace en descente technique (repères E à F pour +/- 200m).
Difficile (avec portage)
Distance Totale : 16.20 Km
Gain d’Altitude : 155 m
Altitude Maxi : 113 m
2 novembre 2016 (mercredi)
C’est toujours les vacances de Toussaint et toujours le désert. Ce matin
nous sommes 3 : Pascale, Dylan et moi. Nous décidons de faire une
petite boucle, mais toutefois en passant par le village fantôme de Tuffarel.
Après la Vendémiaire, le départ se passe sur le chemin des Cayrols,
toujours aussi raide, mais court, alors il faut prendre son temps. Ensuite
le Roc des Pénitents, puis la descente vers la route de la Broute sont plus
faciles, mais il faut se méfier des roches libres qui font brusquement
dériver la roue avant, avec les conséquences qu’on imagine. Un vieux
dicton de VTTistes dit “Pierre qui roule n’amasse pas mousse, mais
abime les genoux” ! En prenant à gauche sur la route de la Broute, nous
attaquons la montée vers Tuffarel. Une pente tranquille mais parfois, il
faut négocier le passage entre les saillies de la roche mère. Un peu
technique quand même mais c’est finalement facile. Nous passons le col
de Tuffarel où nous nous régalons de la vue panoramique sur la lagune et
les plages de l’Hérault. La vieux village abandonné distille toujours cette
ambiance de mystère qui fait tout son charme. Après quoi, nous nous
dirigeons vars le domaine de Laquirou que nous évitons pour rejoindre la
piste cyclable et longer les Bugadelles. Ensuite nous prenons le sentier
forestier de Tarailhan et regagnons Fleury par la route, avant de traverser
le village par les ruelles du vieux Fleury.
Accessible
Des têtes de roches éparses pimentent la descente obligeant souvent de recourir à la technique du Stop and Go
(*)
. Au bas, on trouve enfin une piste agréable
qui nous mène sur le plateau de Saint-Pierre la Mer. La vue qui embrasse Saint Pierre la Mer et Narbonne Plage est magnifique et nous récompense des
efforts fournis. Mais une nouvelle difficulté se présente alors : la belle piste se termine brusquement (repère G) et on est obligé de prendre à gauche une
descente tout aussi pierreuse que la précédente sur +/-500m. Attention, une belle marche de 60 à 80 cm s’y trouve. Je n’ai pas tenté le passage car de
nombreuse têtes de roches ponctuent le bas de la marche… Prudence est mère de sureté ! Cette descente nous mène à aux ruines de la bergerie des
Karantes (repère I). La trace annexée à ce commentaire passe par le domaine des Karantes, mais il est plus convenable de l’éviter et de continuer à travers
les ruines pour retrouver l’itinéraire plus avant. Piégé (j’étais déjà bien loin) je n’ai pas essayé ce passage, mais il est bien marqué sur les cartes. Après, j’ai
rejoint le port de Narbonne Plage avant de traverser Saint Pierre puis j’ai repris les pistes au niveau du camping municipal pour aller à l’Oustalet. De là, le
parcours est plus serein et bien connu : la vieille route de Saint Pierre à Fleury, la combe Levrière, le pont sous la route, la piste cyclable et, passées les
Bugadelles, le sentier forestier au long de Tarailhan. J’ai prolongé le sentier jusqu’au bas des Marmorières puis rejoint la route de Vinassan à Fleury avant de
filer vers le pech de la Pistole, toujours aussi agréable avec ses sentiers tortueux et quelques petites difficultés techniques (justes amusantes).
(*) Stop and Go : A VTT, quand la piste est obstruée par plusieurs obstacles dispersés imposant de se faufiler entre eux, ce que la vitesse ne permettra pas,
on doit avoir recours à cette technique. Il s’agit en fait d’un freinage très appuyé, allant parfois jusqu’à l’arrêt (sans mettre le pied à terre) le temps de corriger
la direction avant de relâcher les freins pour continuer la descente.
Distance Totale : 18.50 Km
Gain d’Altitude : 173 m
Altitude Maxi : 95 m
16 novembre 2016 (mercredi)
Au départ face à la Vendémiaire, seul Guy est venu me retrouver. Nous
décidons de mener une reconnaissance du côté du pech de la Jassette
car il y a là, la combe Fourcade qui est réputée comme infranchissable à
vélo. Cette combe délimite le Pech de la Jassette et le sépare du Pech
Mader. Arrivés sur place, nous trouvons en effet une combe profonde et
très encombrée de végétation. Force est de la suivre ce qui nous mène
au long de l’autoroute… c’est pas vraiment notre tasse de thé ça ! Mais il
n’y a pas d’alternative, aussi nous remontons jusqu’à l’aire de service de
Vinassan avant de replonger dans la forêt. OUF ! Ainsi, nous voila de
l’autre côté de la combe. Espérant trouver un passage nous la longeons
au plus près et trouvons une nouvelle combe qui conflue vers la
précédente. Les deux combes s’écartent peu à peu. Des passages bien
pentus mais bien marqués permettent de passer cette nouvelle
découverte et, vu leur état, sont souvent utilisés par les motos et les
quads. Nous voila donc à remonter entre les deux combes. Si la seconde
est accessible et nous laisse passer, la première reste infranchissable de
ce côté aussi. C’est dommage car ce deuxième côté est amusant mais
devoir passer au long de l’autoroute pour l’atteindre… Merci, pas pour
nous ! Nous voila bientôt sur des traces connues et décidons de
continuer la balade vers Tarailhan. Il nous faut donc traverser le pech de
la Pistole, lui aussi toujours très amusant, puis longer l’arête de l’étang de
Fleury pour retrouver le sentier de Tarailhan. Après quoi, l’heure impose
sa loi et nous reprenons la route de Fleury que nous traversons
rapidement pour rejoindre Salles.
Accessible
Distance Totale : 19.60 Km
Gain d’Altitude : 181 m
Altitude Maxi : 113 m
7 décembre 2016 (mercredi)
Ce matin nous sommes 4 : Guy, André, Brigitte et moi. Nous décidons de
faire une petite boucle, mais en passant par le village abandonné de
Tuffarel pour profiter de la vue sur la lagune. Après la Vendémiaire, le
départ se passe par le chemin des Cayrols, toujours aussi raide, mais
court, alors il faut prendre son temps. Ensuite le Roc des Pénitents, puis
la descente vers la route de la Broute sont plus faciles, mais il faut se
méfier des roches libres qui font brusquement dériver la roue avant, avec
les conséquences qu’on imagine. Un vieux dicton de VTTistes dit “Pierre
qui roule n’amasse pas mousse, mais abime les genoux” ! En prenant à
gauche sur la route de la Broute, nous attaquons la montée vers Tuffarel.
Pas mal de chasseurs sont en action ce matin, mais les échanges sont
aimables et comme nous nous dirigeons vers une zone non chassée, tout
va bien. C’est une pente tranquille mais parfois, il faut négocier le
passage entre les saillies de la roche mère. Un peu technique quand
même mais c’est finalement facile. Arrivés au col de Tuffarel nous nous
régalons de la vue panoramique sur la lagune et les plages de l’Hérault.
La vieux village abandonné distille toujours cette ambiance de mystère
qui fait tout son charme. Après quoi, nous nous dirigeons vars la combe
Levrière avant de rejoindre la piste cyclable et longer les Bugadelles.
Ensuite nous prenons le sentier forestier de Tarailhan et regagnons
Fleury par la route, avant de traverser le village pour retrouver la
coopérative ou Brigitte a laissé sa voiture..
Accessible
Distance Totale : 26.10 Km
Gain d’Altitude : 240 m
Altitude Maxi : 105 m
14 décembre 2016 (mercredi)
A la Vendémiaire, ce matin, nous sommes 3. Le soleil et la lumière sont
au rendez-vous, malgré une température assez fraîche, mais cela nous
engage à nous diriger vers le littoral. Nous décidons de tenter un nouvel
itinéraire, celui de la combe de Bellevue. Après la traversée de Fleury,
nous prenons la vieille route des Cabanes et trouvons la piste de la
combe. Bien raide sur 200 m environ, elle s’adoucit un peu par la suite et
propose des portions peu pentues qui permettent de se reposer un peu.
En revanche, le terrain est technique avec de nombreuses marches de
roche qu’il faut négocier au cas par cas, mais, souvent un échappatoire
permet d’adoucir le passage. Nous arrivons ainsi au BRL et profitons du
panorama sur la lagune et la mer avant de prendre la route sinueuse qui
descend vers Château d’Anglès. Au passage deux coupes permettent de
quitter le goudron pour quelques dizaines de mètres et, pour le fun, nous
ne manquons pas de les emprunter. Nous gagnons l’Oustalet par la route
des vins et nous engageons sur la vielle piste de Fleury ce qui nous
mène à la combe Levrière. Ensuite c’est la piste cyclable, le sentier de
Tarailhan, que nous poursuivons jusqu’au bas de Mamorières. A cet
endroit la sortie du sentier est un peu “Rock n’Roll” mais se passe en
douceur. Il nous reste un peu de temps aussi nous prenons la direction
du Pech de la Pistole et ses multiples chemins. Celui que nous
choisissons de suivre propose 3 marches dont la première est assez
technique. certains la passent à pied et c’est “raison garder” que de ne
pas prendre de risques inutiles. Le retour vers Salles d’Aude par le
“Phare” se fait tranquillement par la route après un détour par le pech de
Mader.
Accessible